Les chevalier d'émeraude

Bienvenue sur Les Chevaliers D'Emeraude !


Avant de commencer :

Avant de commencer à faire des Rp, veillez à faire votre présentation. Pour que celle-ci soit validée, il vous faut les troiscodes se trouvant dans le règlement.
Un minimum de respect envers les membres et le STAFF, ainsi que le travail de chacun est demandé.
Il vous faut un minimum de cinq lignes de Rp.
Et surtout, amusez-vous bien !!


LE STAFF :

Fondateur :
Zieo

Co-Fondatrices :
Lilian et Tsubaki

Admins :
Kilian, Abigaelle, Evrard et Mayka

Modérateurs :
Gabriel, Mylika et Evalmar



Côté rôles à prendre et annonces importantes :


Enkidiev :

Il reste deux places de Chevaliers d'Émeraude, ainsi que deux place d'Écuyers. Il nous manque également toute la royauté, sauf pour Béryl, qui a une princesse, Lilian, qui est maître-magicien, et Kilian, la nouvelle chef de l'Ordre, bien qu'elle soit Écuyère, et Argent, qui a un prince, Zieo, actuellement Écuyer. Le Royaume des Fées a désormais un roi et une reine, ainsi qu'une princesse. Ceux qui le souhaitent peuvent évidemment être du peuple.


Irianeth :

Toutes les places sont à prendre, du Peuple, des Élèves aux Chevaliers, et même les sorciers et Porteur des Ténèbres et son Bouclier et Protecteur. L'empereur est déja pris, ainsi que sa fille. Nous avons également un chevalier. De ce côté, vous pouvez également incarner un Homme-Lézard, un Homme-Araignée, ou toute autre espèce conquises par Irianeth.


Autres :

Il reste six places de dieux, déesses, demi-dieux ou déesses. Quatre places d'Immortels sont disponibles. Nous recherchons également quatres maîtres magiciens, ainsi que dix magiciens et apprentis magiciens.



Un an déjà...sans elle. Source d'inspiration, de joie, d'énergie. Elle était notre fleur, elle nous donnait la joie de vouloir continuer. Un an qu'elle nous as tous quittés, brutalement, sans laisser de traces.
Tu ne sera jamais oubliée, Lilian. Que les Cieux nous entendent. Jamais...
1 Mai 2O1O... Une date à ne jamais oublier...jamais.

Spoiler:

À la douce mémoire de ma petite protégée, Lilian. Ding, dong ! La nuit retentit soudain. Ding, dong ! Voilà les cloches qui annoncent minuit. Ding, Dong ! Dans cette pièce si étroite, Je ne recent plus ta présence. Mon corps ne décelle plus la chaleur de ton sourire. Ding, dong ! Déja, le matin ce lève. Et pourtant, la nuit a été longue. Très longue. Ding, dong ! Dans cette aurore teintée de rouge, Je ne puis que te chercher. Sans me douter qu'à jamais tu est partie. Ding, dong ! Le temps passe avec le teintement de ces cloches, Teintement qui m'est maintenant si funèbre. Ding, dong ! Quel est donc ce corps déformé que j'apperçoit sur la berge ? Ding, Dong ! Ce n'est autre que toi. Ce n'est autre que cette joie éphémère Qu'était ton âme de passage seulement. La vue de ce corps baignant dans son sang, Ou même la vue de cet être répugant Qui a fait éteindre ta lumière, Et qui pourtant est ici malgré moi, Emplit mes yeux de larmes. Ding, dong ! Quelle mort m'annoncent donc ces cloches, aujourd'hui ? Ding, dong ! Mes yeux rouges d'avoir pleurer Refuse de laisser pénétrer Cette siniste réalité. Ding, dong ! Cependant, plus que la sonate des cloches, J'entend l'ébauche De mes souvenirs. Ding, dong ! Dans le Vent j'entend ton rire. Je ne peux qu'ouvrir Mes frêles oreilles à ce son. Ding, dong ! Mais, même mes yeux fermés, Mes oreilles ne voulant entendre que ce rire, Le son funeste des cloches Ne font que pousser des latmes à sortir, Larmes qui restent cependant dans mon coeur Comme l'immense faille que tu as laissé en moi. CE rire n'est que l'écho D'un lointain souvenir Qui ne veux disparaître. Ding, dong ! Alors que ces cloches sonnent encore, Alors que ces larmes glissent sur mes frêles joues, Une seule certitude est là. La certitude qu'à jamais tu restera ici, En moi, Avec moi, Avec nous, Parmis nous. Ding, dong ! Cloches ! Cessez donc votre sinistre rire ! Cloches ! Arrêtez-donc de souffler ces lumières Que chaqun a en soi ! Ding, dong ! Cloches ! Vous verrez, Vous aussi partirez sans avoir pu dire au revoir ! Tsubaki, ou devrais-je dire Aika. Connue également sous les noms de Kou', Kouno', Kounoru, Fougy, ou d'autres encore. Pour toi, chère Lilian. Pour toi qui nous a quitté sans avoir pu nous dire au revoir. Pour toi, qui restera à jamais gravés dans nos mémoires, dans nos coeurs. Plus qu'un poème, je t'offres ce texte. (je le lierais plus tard) Le poème d'Evalmar, pour Lilian... Un jour de plus, un jour de moins Qu'est-ce que ça peut bien faire Puisque tu es si loin Tous ces longs jours si vides ajoutés uns à uns Feront une vie gouffre, un tombeau pour destin Qu'est-ce que ça peut bien faire puisque tu es si loin Que le soleil m'éclaire Je ne vois plus mon chemin Et quand les jours de pluies tu recevras mes larmes Ne t'y noies pas, non, ne t'y noies pas Un jour de plus un jour de moins Qu'est-ce que ça peu faire Puisque tu es si loin Qu'est-ce que ça peut bien faire Tout ces longs jours si gris Ajoutés uns à uns s'ils m'apportent l'oubli