Les chevalier d'émeraude
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Les chevalier d'émeraude

Un rpg basser sur les livre de Anne Robillard et qui se passe 300 ans aprés.
 
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 Demain, l'Aube se lèvera encore. Et la Vie reprendra son court.

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Tsubaki
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Tsubaki


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Localisation : JE suis quelque part en ce monde. Où ? A toi de voir. A toi de le découvrir.

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MessageSujet: Demain, l'Aube se lèvera encore. Et la Vie reprendra son court.   Demain, l'Aube se lèvera encore. Et la Vie reprendra son court. Icon_minitimeSam 20 Fév - 20:06

Quel jour nous sommes ? De quel année ? De quel mois ? Quelle heure est-il ? Je ne sais pas. Tout cela, ça fait bien longtemps que je l'ai oublier. Je ne compte plus les jours. JE ne veux plus les compter. J'aurais préféré mourir. J'aurais dû mourir. Seulement, je suis là. Vivante. Aujourd'hui encore, je suis là, errante, sans but, et pourtant, chaque soir, j'observe un disque blanc présent dans le ciel. Et pourtant, chaque soir, je m'allonge, pour finir par m'endormir. Et pourtant, chaque nuit, le même rêve vient m'hanter. Et pourtant, chaque jour, je me réveille, et, une fois de plus, la vie reprend son court. Je n'aurais pas dû être là. Je devrais être ailleurs... Je n'aurais jamais dû survivre. Je ne suis plus rien. Et pourtant, en cet instant précis, le maigre fil qui me maintenait ici... Je l'ai brisé. J'ai rompu ma promesse. LA promesse de rester en vie. Et je sais que, pour l'éternité, ces visages qui m'étaient si chèrs, viendront me hanter, et à jamais je resterais plein de remords. J'aurais dû mourir. Et eux vivre. Mais il n'en a été ainsi. Ô, Destin, à quel point peux-tu être cruel ! Pourquoi y a-t-il fallut qu'ils tombent, un à un ? Pourquoi a-t-il fallut que mes amis se sacrifient, pour moi ? Il neige. La neige est... Si blanche ! J'aurais aimé pouvoir la voir un peu plus. Et pourtant, il a fallu que je fasse cette bêtise. Cette bêtise que de vouloir vanger les miens. Je le savais, pourtant. Que je n'en était pas capable. Que ce monstre allait me faire subir la même chose. Je n'étais pas prête. Pas encore. Mais, maintenant, je ne le serais plus jamais. Et demain, l'Aube se lèvera, comme toujours. Et demain, on m'oubliera, et la vie reprendra son court. Sans moi, cette fois-ci.
Mais alors, comment en suis-je arriver là ? C'esg une longue histoire. Une histoire qui défile actuellement devant mes yeux, alors peut-être puis-je vous la raconter.
Je suis née. Forcément, vous allez me dire. Ma naissance n'est pas intéressante. Puis, ma famille tombe, membre par membre, sous des coups de feu des humains. Humains parmis lesquels je me cacherais longtemps. LEs Humains enfflamèrent mon chez-moi. Ensuite, je erra. Longtemps. Puis, je finis par prendre la place d'une humaine. Mon corps mourrant ne me servait plus à rien. Alors, j'envoya mon esprit dans le corps d'une nouvelle-née. Ainsi, je vécut parmis les humains, oubliant mon passé, durant "douze ans". J'eu des amis, mais tous finirent par m'abandonner, ou alors, je ne les revis plus jamais. JE finis seule, et trouva refuge en moi. EN moi, quelque chose m'appellait. MOn passé. Ma vérité. Puis, je les trouva. Ces visages si chères qui ont disparut. Je les trouva... On peut dire, grâce aux humains. Et ces personnes, qui étaient, en soi, comme moi, m'ont guider, mon réaprit à vivre, et me revoilà louve. Et me revoilà moi. Tout cela, cela ne vous intéresse pas, je m'en doute bien, mais c'est cependant nécéssaire pour comprendre la suite. D'ailleurs, je ne fais que vous compter ce qui défile devant mes yeux entre-ouverts, vides de toute lumière. Puis, un jour, nous nous retrouvâmes, de chair et de sang, et non juste une confiance mutuelle qu'on s'accordait, les un aux autres. Nous voyageâmes, longtemps, heureux, à cette époque, je riais, et j'oubliais même les souffrances que j'avais vécut. Une larme roula sur ma joue ensanglanté, enlevant au passage un peu de ce sang qui maccule mon pelage autrefois si blanc. Puis, un jour, on le rencontra. Ce monstre. Une sorte d'Humain. Mais pas tout à fait ça. Il nous parla lontemps. Il ne voulait qu'une chose. Ma vie. Moi, j'étais prête à la donner. Pour les amis. Pour les miens. Mais eux ne voulaient même pas en entendre parler. Moi, je voulais les protéger. LEs aider. Avant qu'ils ne me laissent de nouveau seule, comme je l'ai toujours été, finalement. Alors, le monstre se jeta à ma gorge, les corcs écumant de toute la rage présente au monde. Il répéta son opération, mainte et mainte fois, mais, à chaque fois, un de mes compagnons tomba. Pour moi. Je ne le méritais pas. JE ne suis qu'un porte poisse, de toute façon, alors peut importe si je meurs ou pas. Ils n'avaient pas besoin de moi. Puis, le monstre partit, déclarant qu'il avait eu assez de sang. Mais pourquoi tant de sacrifices, alors qu'un seul aurait suffit ? Puis, j'entendis des murmures. LEs murmures des miens. Ils me dirent, non, ils me firent jurer de rester en vie.Je ne put qu'aquisicer, trop choquée par le massacre qui venait de se dérouler devant moi. Les larmes coulent désormais à flot sur mes joues, traçant une ligne blanche dans tout ce sang maculant mon pelage. Je ne méritais pas ça. Je méritais seulement de mourir, à ce moment là. Rien d'autre. Puis, j'ai reprit forme humaine, et j'ai errer, entre mes deux formes, sans but. Puis, j'ai retrouver la trace de ce monstre. Alors je l'ai suivit. Et je suis arrivée là. Je l'ai combattu. De toute mes forces. Mais, il m'a quand même arraché ce serment que j'ai fait. Il a quand même briser ce fil si mince qui me retenait à la vie.
Et maintenant, je suis là, moi, une simple louve blanche, idiote et égoïste, dans ce paysage blanc des montagnes. Personne ne viendrait me trouver ici. ET c'ets peut-être mieux ainsi. Les plaies béantes parcourant mon corps laissent mon sang s'échapper de mes veines. S'échapper de mon corps. S'échapper avec ma vie. Mon pelage, autrefois blanc, est rouge. Rouge de mon propre sang. Ma respiration saturée et souffrante ne cesse de ralentir. En dessous de moi, et autour de moi, la neige est rouge. Aussi rouge que ce sang qui s'écoule de moi sans vouloir cesser de partir, de s'échapper pour abreuver ce sol qui restera, désormais et à jamais, rouge. Il fait froid. J'ai froid. J'ai mal. Je devrais avoir froid. Et je devrais souffrir, au point d'en hurler la Mort. Et pourtant, je ne sens rien. Je ne sens plus rien.Ca y est, ce combat qui m'est mortel défile devant mes yeux. Il ne me reste plus que quelques secondes. J'ai des ailes, même si on ne les voit pas. Et ces ailes n'ont jamais été blanches. Et elles ne se seront jamais. Désormais, elles sont rouges. Rouges écarlates. Rouge. Rouges de mon sang. De mon propre sang. Et je vais mourir. Ici et maintenant. Et c'est maintenant que je le regrette. Seulement maintenant, alors que tout est finit pour moi. C'est maintenant que je regrette de ne pas être repartit vers ce but qui nous était si chère. Je vais mourir. Je l'ai toujours voulut. Et pourtant, maintenant, bien que je n'ai pas peur, je ne peux m'empêcher de le regretter.

Demain, l'Aube se lèvera encore. Comme elle le fera toujours. Et la vie reprendra son court. Mais sans moi, cette fois. Car mes yeux seront fermés, mon pelage sera rouge de sang, à jamais. Et mon coeur ne battra plus jamais, prisonnier de mes regrets. Demain, l'Aube se lèvera encore. Comme elle le fera toujours. Et la vie reprendra son court normal. Et moi, je ne serais plus. A moins d'un miracle. Un Miracle que je souhaite, mais, qu'au fond de moi, je rejette.

Voilà mon histoire, voilà ce que je fut, moi, égoïste et stupide louve blanche.

Demain, l'Aube se lèvera encore. COmme toujours. Et la vie reprendra son court. Sans moi, car je ne serais plus jamais là pour continuer ce chemin que m'ont donné ceux qui me sont si chères, et que j'ai refusé. Je suis égoïste. Et c'est seulement maintenant que je m'en rend compte.
Demain, l'Aube se lèvera encore, comme elle l'a toujours fait. Comme elle le fera toujours. Et la vie reprendra son court, et moi, je serais oubliée, à jamais prisonnière de mon égoïsme. Adieux, Vie que je hais tant, et que, pourtant, je désires tant, soudain. Adieux, vie que je n'ai jamais méritée.
Je ne veux pas que quelqu'un refasse mes erreurs, alors je les grave dans cette neige, qui deviendra glace, dans mon corps. Au Nom De Cette Vie Que Je Hais Tant.

Sans moi. Car je ne serais plus jamais là. Et pourtant.
Demain, l'Aube se lèvera encore, comme elle l'a toujours fait. Comme elle le fera toujours. Et encore. Demain, la Vie reprendra son court. Comme elle l'a toujours fait, et comme elle le fera toujours et encore.

NOTE : Bon, voilà, je sais que c'est nul, voir même répétitif, mais bon, je tiens tout de même à avoir vos avis.
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Evalmar

Evalmar


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MessageSujet: Re: Demain, l'Aube se lèvera encore. Et la Vie reprendra son court.   Demain, l'Aube se lèvera encore. Et la Vie reprendra son court. Icon_minitimeMer 24 Fév - 14:53

C'est un peu étranges à des moments et quelques petites fautes d'accords pour que les phrases soient compréhensibles mais sinon moi je trouve que c'est super bien! J'aime beaucoup!

Et je suis pas du genre à être sympa, j'aime normalement saquer les gens alors quand je dis que c'est bien c'est sincère
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